Le flux d'information en provenance de l'extérieur détecté par la rétine de l'œil n'est pas le seul facteur rentrant en compte dans le mécanisme de la vision. Les illusions d'optique en sont la preuve la plus élémentaire : elles montrent que la façon dont le système visuel, et en particulier le cortex visuel du cerveau, traite cette information est aussi importante dans la construction de l'image perçue, consciemment ou non.
La vision n'est ni instantanée ni fluide, mais elle se fait de manière ponctuelle et rapide (de l'ordre du 1/40 de seconde). Le train d'informations visuelles passe depuis la rétine par les nerfs optiques pour être acheminé vers les aires corticales de la vision à l'arrière du cerveau. La façon dont le cerveau traite ces informations fait l'objet de nombreuses études en neurosciences cognitives, notamment depuis les travaux des Prix Nobel Hubel et Wiesel.
Pour l'homme, ainsi que pour de nombreux animaux, les mécanismes de la vision diffèrent en fonction de l'intensité lumineuse ; ainsi, il est d'usage de distinguer la vision diurne, ou « vision photopique », de la vision nocturne, ou « vision scotopique », pour la finesse de cette vision diurne, on utilise le terme d'acuité visuelle.
Et c'est parti ! On doit maintenant retourner le mot dans tous les sens, en trouvant le maximum de définitions… à tes dictionnaires !
RépondreSupprimerOu bien, tu reprends les mots qui sont déjà en évidence dans le texte pour les définir.
RépondreSupprimeron ne veut pas un copier coller du même texte, donne-nous des définitions… et d'où vient cette image ?
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